De ce jaune qui rappelait les rayons solaires
venus illuminer ce corps qui m'ensorcelait.
la bête de métal vrombissait, attentif au moindre désir
de celle qui sensuellement la chevauchait,
moi, je n'avais d'yeux que pour ses formes
qui à chaque soubresaut semblaient vouloir
jaillir de la satinée prison de son soutien-gorge.
elle riait, s'en se douter le moins du monde
de l'effet pervers que sa beauté engendrait,
mes yeux suivaient le sexe à peine voilé
qui semblait soudain devoir investir la grotte
dont je connaissais le moindre recoin, la douce humidité.
et soudain la bête cessa sa folle course,
la belle échappa à l'étreinte de ce métal coursier
pour venir souriante courir vers moi
et dans mes bras venir se blottir
La belle femme semblait réagir à ces chauds attouchements,
Son corps prenant des poses de plus en plus érotiques,
Et la belle laissait ses désirs doucement s'ouvrir
Telles les corolles des fleurs qui l'entouraient.
Chaque minute devenait plus chaude et plus
enivrante,
Elle sentait dans ses veines couler la chaude sève du désir,
Elle revintt hâtivement vers celui qui allait la combler,
Se cachant aux yeux du soleil qui, en proie au dépit,
Derrière une nuage se cacha et se mit à pleurer de désespoir.
Commentaires Récents